J'aime bien que mes pièces aillent vivre ailleurs, qu'elles trouvent leur place dans d'autres lieux, et qu'elles inspirent les dessinateurs.
Je retrouve avec bonheur mes deux frileuses, le visage caché par leur énorme cache-nez, pressant le pas avant la tempête de neige ou l'averse.
Et aussi aujourd'hui : Sainte Luce, les jours rallongent d'un saut de puce. Merci Marguerite pour les dictons de mon enfance.
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